Sarkozy à la Mosquée, Fanny Truchelut au tribunal et la France en perdition.
C’est le Bloc-notes d’André Dufour (Liberty Vox)
« Monsieur le Président,
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être…… »
Le flot continu d’immigration massive que la France connaît depuis un peu plus d’un demi siècle a implanté chez nous quelques religions, jusque là exotiques, plus particulièrement le bouddhisme, l’hindouisme, à côté de formes de christianisme issues du protestantisme africain ou caraïbe. Ces religions ne semblant pas avoir de répercussions sur la politique et ne revendiquant aucun statut particulier ne posent aucun problème. Qui a donc entendu parler d’un racisme «hindouismophobe», «bouddhismophobe» ou «évangélophobe» ? En l’absence de tels ressentiments de la part de la population d’accueil, ces néologismes, qui enlaidissent notre langue, n’ont pas lieu d’être inventés. Et pour cause, la France, quoi que nos détracteurs de la LDH, du MRAP et autres agents du gavage islamique de notre pays le prétendent, n’est pas raciste. Quand racisme il y a, toujours impuni, il n’est pas le fait des Français «de souche», dès lors toujours couvert par le MRAP, la LDH et tous leurs Tubiana de service qui font de l’anti-racisme très sélectif leur fonds de commerce. Dans la majorité des cas, le racisme se manifeste dans les milieux «indigènes de la République». L’islam mis à part, aucun des groupes religieux qui se sont développés en France n’est impliqué dans les guérillas urbaines récurrentes, dans les incendies de voitures et autobus, dans les agressions contre les pompiers, policiers ou enseignants qui rendent la vie infernale aux habitants de nos «banlieues» et quartiers «difficiles», aucune des revendication de signes ostensibles d’appartenance religieuse ne sont imputables à ceux qui se réclament de ces religions. On n’entendra donc pas notre président de la République s’ériger en défenseur de leurs droits particuliers ni promettre de les aider à «accéder à cette juste place que ces religions revendiquent». Et pour cause, elles ne se sont pas installées en France pour «revendiquer» ou «exiger» mais pour se conformer et s’adapter à nos codes, règles, valeurs et coutumes, et non pour nous imposer leur culture, us et coutumes, non pour subordonner nos règles générales à leurs règles particulières.
Alors, que Monsieur le Président me le permette ou pas, à l’instar d’un nombre croissant de nos compatriotes, j’exprime mon désaccord sur sa politique de discrimination «positive» en faveur de l’islam, alors que seule une minorité d’agitateurs, ne tirant leur «représentativité» qu’en fonction du nombre de mètres carrés de mosquées qu’ils mettent dans la balance, prétendent représenter, s’exprimer et agir au nom de tous ceux qui pratiquent plus ou moins, voire pas du tout cette religion ? Ces derniers sont probablement plus nombreux que l’on essaie de nous faire croire. Or ce sont eux qui sont sacrifiés par cette politique
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